Je m’appelle Marion Lafon, j’ai 25 ans, et je regarde les médias comme d’autres regardent le ciel : avec fascination, mais toujours un peu méfiante.
Je suis analyste médias indépendante, passée par une école de journalisme… que j’ai quittée juste avant le diplôme. Pourquoi ? Parce qu’on m’y apprenait à parler vite, mais pas à penser long.
Je préfère les contrechamps aux angles, les doutes aux scoops, et les lectures critiques aux punchlines prémâchées.
En 2022, j’ai créé Widemedia, un magazine libre qui observe les observateurs et décrypte ceux qui décryptent.
🎯 Ma mission ?
Comprendre comment l’information est produite, sélectionnée, diffusée, déformée, digérée.
Pas seulement ce qui est dit, mais comment, pourquoi, par qui, et avec quels effets.
Je m’intéresse :
aux mécanismes de l’agenda médiatique
aux angles morts de l’info
aux relations entre pouvoir et presse
à la désinformation douce, celle qui ne se voit pas mais modèle l’opinion
aux formats émergents (podcasts natifs, newsletters, chaînes YouTube, TikTok info)
à la manière dont les publics (dés)engagent face à tout ça
Sur Widemedia, je propose :
des analyses de traitement médiatique (comment un même fait est raconté différemment selon les rédactions)
des cartographies de l’écosystème info (propriété des médias, dépendances économiques, bulles de filtre)
des entretiens avec journalistes critiques, chercheurs, créateurs indépendants
et parfois… des billets personnels, quand l’actualité me traverse trop fort
🧠 Ce qui me rend différente ?
Je suis obsessionnelle de la veille média, mais à l’ancienne.
Je fais ça sans algorithme : flux RSS, lectures croisées, journaux papier, podcasts du matin au soir.
Mais surtout, j’ai une passion un peu étrange : je collectionne les erreurs médiatiques corrigées discrètement.
Tu sais, ces petits encadrés planqués en bas de page ou ces tweets “rectificatifs” publiés 24h après le buzz ?
Je les archive. Je les analyse. J’en fais une rubrique : “Erratum”, qui raconte une autre histoire de l’info. Une histoire qu’on oublie trop vite.
🗣️ Mon ton ?
Ni cynique, ni naïf.
Je ne tape pas pour exister, je n’encense pas pour exister.
J’écris pour décortiquer, comprendre, et parfois remettre en cause les évidences confortables.
Mon ton est :
rigoureux, mais vivant
critique, mais pas agressif
narratif, mais jamais flou
Je fais des phrases longues quand le sujet l’impose. Et très courtes quand je suis en colère.
🪪 En résumé
Je suis Marion Lafon,
une lectrice obsessionnelle,
une chasseuse de récits cachés,
et une analyste indépendante des mécaniques médiatiques.
Sur Widemedia, je t’invite à ne pas seulement lire l’info, mais à la regarder de l’extérieur.
Parce qu’on ne peut pas se libérer de ce qu’on ne comprend pas.
Bienvenue dans la salle des machines.