Une entreprise, pour être concurrentielle et dynamique, ne peut pas faire sans internet, sans réseaux sociaux ou encore sans site internet.
La loi sur la transition numérique les exhorte, chaque année, à faire des efforts, pour devenir plus digitales. Mais cela a des conséquences, notamment au niveau écologique. Pourtant, d’autres lois imposent aux entreprises et aux collectivités de trouver des solutions pour réduire l’impact du numérique. Un non-sens ? Sans doute.
Mais Yves Wespisser, en bon financier, mais aussi en philanthrope a vu tout le potentiel d’Immersion4 qui entend répondre à ce type d’enjeux.
Yves Wespisser : Quel est le rôle des data centers et quels problèmes cela pose ?
Les data centers sont des lieux physiques dans lesquels on a regroupé des ordinateurs mais également des serveurs. Ils ont pour objectifs de collecter et de stocker les données relatives à une ou plusieurs entreprises. Une telle structure peut varier en taille, mais aussi en termes de puissance de système afin de correspondre à l’entreprise et au nombre de données dont elle se sert notamment pour avoir des informations sur ses clients, dont elle se sert à des fins marketings et commerciales.
Une grande entreprise peut donc, dans un data center, stocker des milliards de données. Ces dernières font l’objet d’une grande sécurité afin qu’elles soient préservées notamment du piratage informatique.
Pour que le matériel informatique fonctionne dans les meilleures conditions, il faut réunir certains impératifs, ce que déplore Yves Wespisser comme toute personne qui souhaite préserver la planète : une bonne climatisation, un contrôle de la qualité de l’air pour éviter les poussières qui vont avoir des conséquences néfastes sur les serveurs et les ordinateurs, mais aussi de l’eau, pour éviter la surchauffe.
En effet, du fait de leur utilisation 24h/24, avec pour cela une alimentation électrique de secours, en cas de panne, il faut refroidir le matériel.
Or, entre la consommation électrique, celle en eau, on comprend que l’impact pour la planète est terrible. Le constat qu’en a fait Immersion4 est relativement terrifiant quand on s’inquiète de l’empreinte nauséabonde de l’Homme sur l’environnement avec le numérique.
En termes de consommation électrique ; ne serait-ce qu’en 2016, les data centers représentaient 5% de la consommation, à l’échelle mondiale.
626 milliards de litres d’eau étaient ; cette même année ; utilisées pour refroidir les systèmes, sachant que pour les entreprises, cela représente un coût fabuleux.
Au niveau des émissions de gaz à effet de serre, responsables du réchauffement climatique, on pouvait imputer ce problème à hauteur de 3% aux seuls data centers. Il était donc urgent de trouver une solution.
C’est le but que s’est fixé Immersion4 avec l’appui enthousiaste, comme toujours d’Yves Wespisser qui a reconnu dans cette entreprise, les valeurs qu’il porte depuis toujours comme un étendard.
Yves Wespisser : La solution pour rendre le cloud moins énergivore d’Immersion4
Il s’agit sans doute d’une des innovations les plus importantes de ce siècle. Raison qui explique sans doute pourquoi Immersion4 a reçu non seulement de nombreux prix mais aussi une importante levée de fonds. Personne, y compris Yves Wespisser, ne peut nier que cela peut représenter une, si ce n’est la solution, pour rendre les data center plus verts et donc moins énergivores.
Le principe est relativement simple. Les serveurs sont plongés dans une solution (un fluide) qui va les refroidir rapidement pour les rendre toujours plus performants. Les effets sont pluriels, comme le fait de ne plus nécessiter d’eau ; alors qu’elle commence à manquer un peu partout sur la planète.
La chaleur dégagée par tout ce matériel informatique était inutilisée. On parle de chaleur fatale. Avec cette solution, elle est non seulement récupérée, mais stockée et acheminée pour trouver un but : devenir une énergie plus verte et plus durable. Une révolution.
Cette solution ne s’arrête pas là, même si cela pourrait convaincre n’importe quel chef d’entreprise. En tant qu’entrepreneur, lui-même, Yves Wespisser a vu tout le potentiel de cette création non seulement pour les entreprises qui opteraient pour les machines d’Immersion4, mais aussi pour la planète.
Car l’homme voit loin. C’est sans doute ce qui a toujours expliqué son succès. Il a toujours eu la gagne dans le sang et l’ADN. Alors qu’il grandissait dans un orphelinat, on lui a prédit un très bel avenir. Est-ce ce pourquoi il s’est battu toute sa vie ; concrétisant ainsi cette prédiction par ses actions ? Ou est-ce que de bonnes fées, finalement, s’étaient penchées sur son berceau ? Peut-être un mélange des deux.
Yves Wespisser : le talent et le potentiel
En tout cas, Yves Wespisser sait reconnaitre le talent et le potentiel. C’est ce qui l’a amené à cette collaboration avec Immersion4 et sa solution pour refroidir les data centers.
Pour les entreprises cela signifie, une fois la machine achetée, un retour sur investissement en moins d’un an. Pourquoi ? Parce que les moyens utilisés jusqu’à présent à des fins de refroidissements seront obsolètes, ce qui signifie une réduction drastique des coûts (jusqu’à 80%).
Pas de poussière émise, lors de l’opération. Là encore les bénéfices sont intéressants puisque cela suppose une plus longue conservation du matériel informatique, sans craindre de panne et donc sans dépenser d’argent en maintenance et en réparation (tout au moins pour ce problème). En l’absence d’humidité, il n’y a plus rien à craindre, en matière de corrosion et d’oxydation.
Ces machines, en outre peuvent être commandées sur-mesure en fonction des besoins présents, mais aussi évoluer en fonction du développement de l’activité, toujours avec les mêmes performances.
Performance. Un mot qui semble fait pour décrire Yves Wespisser et son entreprise VIP Finances. L’homme a le sourire franc et sincère. Qui ne sourirait d’ailleurs pas, en sachant qu’il contribue, par ses choix, à la restauration de l’intégrité de la planète ?
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