Categories: Business - Entreprise

Connaissez-vous le gardiennage virtuel ?

Les entreprises doivent redoubler d’efforts notamment pour gérer au mieux leur flotte automobile ou leurs camions. La surveillance est primordiale, mais elle n’est pas toujours facile à mettre en place. C’est pour cette raison que le gardiennage virtuel peut être intéressant. Vous aurez alors un oeil sur tous les déplacements des véhicules ou des personnes dans une zone. N’hésitez pas à vous renseigner sur le geofencing pour le transport, vous pourriez rapidement trouver quelques points forts. 

Une limite géographique et virtuelle

Vous pouvez créer une barrière virtuelle grâce aux nouvelles technologies, cela évite d’installer de vraies clôtures qui peuvent être onéreuses. Toutefois, le geofencing permet de surveiller les camions ou encore les voitures et même les personnes dans une zone bien définie. Il suffit d’utiliser un logiciel de cartographie, il permet de déterminer le périmètre qu’il ne faut pas dépasser. Vous devez donc renseigner les coordonnées GPS à chaque fois à savoir la longitude et la latitude. 

  • Grâce à des points, vous délimitez votre barrière pour que la surveillance virtuelle et à distance soit opérationnelle.
  • Si vous devez augmenter la superficie du périmètre, il suffit de déplacer les points ou de modifier les coordonnées GPS.
  • Les entreprises qui possèdent une flotte de véhicules bénéficient de plusieurs points forts : économies, gain de temps, gestion sociale simplifiée…

Toutes les données sont aussi centralisées dans un logiciel, vous ne devez donc plus perdre de longues minutes pour récupérer ces informations si précieuses. Vous pourrez avec le même logiciel améliorer les trajets et identifier les leviers qui vous permettront d’augmenter votre productivité. N’hésitez pas à faire appel à un professionnel qui maîtrise parfaitement le geofencing des transports. 

Plusieurs utilisations sont alors à envisager, vous pourrez analyser l’activité d’un site, reconstituer la journée de vos salariés ou obtenir une justification d’une facturation. Vous aurez même une aide précieuse par rapport à votre activité commerciale.

Marion

Je m’appelle Marion Lafon, j’ai 25 ans, et je regarde les médias comme d’autres regardent le ciel : avec fascination, mais toujours un peu méfiante. Je suis analyste médias indépendante, passée par une école de journalisme… que j’ai quittée juste avant le diplôme. Pourquoi ? Parce qu’on m’y apprenait à parler vite, mais pas à penser long. Je préfère les contrechamps aux angles, les doutes aux scoops, et les lectures critiques aux punchlines prémâchées. En 2022, j’ai créé Widemedia, un magazine libre qui observe les observateurs et décrypte ceux qui décryptent. 🎯 Ma mission ? Comprendre comment l’information est produite, sélectionnée, diffusée, déformée, digérée. Pas seulement ce qui est dit, mais comment, pourquoi, par qui, et avec quels effets. Je m’intéresse : aux mécanismes de l’agenda médiatique aux angles morts de l’info aux relations entre pouvoir et presse à la désinformation douce, celle qui ne se voit pas mais modèle l’opinion aux formats émergents (podcasts natifs, newsletters, chaînes YouTube, TikTok info) à la manière dont les publics (dés)engagent face à tout ça Sur Widemedia, je propose : des analyses de traitement médiatique (comment un même fait est raconté différemment selon les rédactions) des cartographies de l’écosystème info (propriété des médias, dépendances économiques, bulles de filtre) des entretiens avec journalistes critiques, chercheurs, créateurs indépendants et parfois… des billets personnels, quand l’actualité me traverse trop fort 🧠 Ce qui me rend différente ? Je suis obsessionnelle de la veille média, mais à l’ancienne. Je fais ça sans algorithme : flux RSS, lectures croisées, journaux papier, podcasts du matin au soir. Mais surtout, j’ai une passion un peu étrange : je collectionne les erreurs médiatiques corrigées discrètement. Tu sais, ces petits encadrés planqués en bas de page ou ces tweets “rectificatifs” publiés 24h après le buzz ? Je les archive. Je les analyse. J’en fais une rubrique : “Erratum”, qui raconte une autre histoire de l’info. Une histoire qu’on oublie trop vite. 🗣️ Mon ton ? Ni cynique, ni naïf. Je ne tape pas pour exister, je n’encense pas pour exister. J’écris pour décortiquer, comprendre, et parfois remettre en cause les évidences confortables. Mon ton est : rigoureux, mais vivant critique, mais pas agressif narratif, mais jamais flou Je fais des phrases longues quand le sujet l’impose. Et très courtes quand je suis en colère. 🪪 En résumé Je suis Marion Lafon, une lectrice obsessionnelle, une chasseuse de récits cachés, et une analyste indépendante des mécaniques médiatiques. Sur Widemedia, je t’invite à ne pas seulement lire l’info, mais à la regarder de l’extérieur. Parce qu’on ne peut pas se libérer de ce qu’on ne comprend pas. Bienvenue dans la salle des machines.

Recent Posts

Comment choisir la dénomination sociale de votre SCI ?

Choisir la dénomination sociale de votre société civile immobilière (SCI) est une étape essentielle au…

2 semaines ago

Comment une solution PIM peut booster votre e-commerce ?

Dans un paysage commercial où la concurrence s’intensifie, la clé du succès du e-commerce repose…

2 semaines ago

Comment préparer ses pieds pour l’hiver: confort et praticité au quotidien

L’arrivée de l’hiver signifie des températures en baisse, des journées plus courtes et, bien souvent,…

3 semaines ago

Pourquoi les freelances parisiens adoptent massivement le portage salarial ?

À Paris, le nombre de freelances ne cesse de croître, porté par l’envie d’autonomie, de…

4 semaines ago

Loisirs 2025 : Ces nouvelles tendances qui révolutionnent nos sorties entre amis

Fini le simple dîner au restaurant. En 2025, les Français recherchent des expériences mémorables et…

1 mois ago

Greenwhey : notre avis complet sur la marque française de compléments alimentaires naturels

Ouvrir un sachet de protéine, sentir la noisette brute, palper l’emballage qui frémit, cela ne…

2 mois ago

Ce site utilise des cookies.